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 c'est à dire

c'est à dire

un autre regard....une expression libre , le débat citoyen, l'éducation populaire et permanente

Publié le par Hervé André
Publié dans : #billet d'humeur

Fait-il jour ? Est-ce déjà la nuit ? Peu importe ; un train roule à grande vitesse, à son bord un monde impatient de profiter de quelques heures de vacances, de retrouver des amis, des familles, enfin…. se mettre à table et goûter aux plaisirs festifs promis depuis des jours et des jours par les huissiers du temple de la consommation et par la presse d’information ! C’est la fête quoi ! Tout le monde a bien le droit à sa petite tranche de bonheur ; même à crédit s’il le faut… ce n’est pas grave ! C’est Noël ! la fête qui réunit  autour du sapin pour le bonheur de recevoir et de partager des plaisirs de la vie

Puis c’est le trou noir pour un homme seul, …un train qui avance dans la nuit,  l’ombre de la mort rôde dans la motrice ; dans la tête du conducteur c’est un noël sans fête,  un mauvais cadeau de la vie trop lourd, insupportable ! Il décide de claquer la porte à la vie, il sait que sa machine continuera un bout de son chemin avant de s’arrêter toute seule…Sans lui !

Je ne connaissais pas cet homme, je ne porte aucun jugement sur l’acte qui l’a conduit à en finir avec la vie. Je veux simplement exprimer un sentiment de dégoût devant le traitement médiatique du drame sans nom vécu,  par sa famille, ses amis , ses camarades de travail. Mettre à la une des pages de presse écrites ou télévisées,  la gêne et le désagrément des usagers, est un procédé dépourvu d’empathie et d’humanité pour les femmes et les hommes !  Le choc émotionnel atténué et devant les soulèvements d’indignation, les journaux télévisés et la direction technique de la SNCF assurent qu’à aucun moment ton geste n’a mit la vie des gens en danger ! J’ose croire que la formule du micro trottoir est surtout un moyen d’orienter et susciter les réponses de l’opinion, sinon : c’est à désespérer du climat de sympathie qui rend le vivre ensemble possible !

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Publié le par Hervé André
Publié dans : #mes chroniques

Assis dans mon fauteuil, je considère que le droit de penser et de s’exprimer est un héritage transmis par celles et ceux qui ont écrit notre roman national. Maintenant, vouloir rouvrir que les pages glorieuses est un déni d’objectivité historique et le refus d’assumer collectivement les erreurs politiques ou sociales du passé. Force est de constater que ma sensibilité de gauche vacille un peu, le temps de mes convictions d’hier, est aujourd’hui celui de mes désillusions ! Pour faire court, mon cheminement de pensée c’est d’avoir fait mienne l’idée d’un « Socialisme à la française », proposition de Georges Marchais alors secrétaire du PCF. Je voyais là pour le parti l’opportunité de s’émanciper de son soutien inconditionnel à l’URSS, qui à mon avis, ne correspondait pas aux valeurs de notre république et demeurait un frein pour la promotion du socialisme. À la même époque, l’abandon de la dictature du prolétariat, mal reçu par les anciens et incomprise par les plus jeunes, a manqué de clarté dans les débats d’après congrès ; pour certains cette modification des statuts correspondait aux exigences de la démocratie, pour d’autres c’était un contre-feu à l’anticommunisme primaire.

L’avènement du Front de Gauche et l’élaboration d’un programme électoral ambitieux doivent beaucoup à la participation active de la camarade Marie Georges Buffet alors secrétaire nationale du PCF et de Jean Luc Mélenchon. Depuis lors l’eau a coulé sous les ponts ! Plus que les beaux discours et les vitrines historiques où s’affichent les trophées des conquêtes sociales passées, les partis politiques se revendiquant de gauche portent la lourde responsabilité d’avoir oublié l’essentiel… À savoir : gagner la bataille des idées et épingler en tête de programme la convocation d’une assemblée constituante, ne serait-ce que pour remettre la démocratie au cœur de tous les débats. Il faut noter qu’à l’exception de la FI,  cette idée n’effleure plus les pensées à gauche . À leur décharge, à chaque consultation électorale, se profilent les prémices d’une nouvelle Bérézina ! Ce comportement est préjudiciable pour le cheminement de nos idées car il laisse croire qu’on aurait peur de la démocratie.

Le traitement réservé au FN, aujourd’hui devenu le RN, était la levée des cris d’indignations ‘du front’ républicain pour faire barrage à la famille du borgne ; Tout le monde se pinçait plus ou moins le nez devant l’urne mais : la finalité du scrutin étant le vote contre, la gauche, la droite pouvaient crier victoire ! Il fut un temps où la presse évoquait les républiques bananières, quel adjectif pourrait-on attribuer à notre République d’aujourd’hui ?

J’enrage un peu d’être contraint à l’inactivité sur le terrain et d’avoir déserté les rangs d’un parti qui a rompu avec des valeurs que je partageais . Cela étant ; vivre de regrets c’est sucrer son café avec du sel, alors disons qu’aujourd’hui, je bois mon café sans sucre et j'ai gardé mes convictions ; avec toutefois l’inquiétude de voir les générations à venir renoncer à se battre pour les causes les plus nobles que sont : la liberté l’égalité et la fraternité et pourquoi pas….se déclarer citoyens-nes  du monde ! Il reste tant de batailles à mener pour l’humanité et le bien la planète.

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Publié le par Hervé André
Publié dans : #à méditer

Qui est celui qui parle le mieux des fleurs ? Le poète ou le fleuriste? Qui des deux les aime le plus ? Celui qui leur coupe la queue et les cueille pour les vendre à l’étalage ou celui qui les regarde pousser et grandir dans leur jardin ? C’est là un sujet à méditer pour qui se complaît dans la beauté des choses ! Hélas ce privilège n’est pas donné à tout le monde car le désir et l’envie justifient la perte de tous les moyens que la raison approuve, mais que les sentiments émotionnels  ignorent!  Ceci est vrai pour le rêveur empreint de poésie comme pour le marchand contraint par des exigences alimentaires !

Tout ça pour dire de manière ‘plus terre à terre’ qu’on peut aimer les fleurs pour leur beauté naturelle et le parfum qu’elles nous offrent, mais aussi pour le décor ornemental d’une salle à manger ou d’un salon de rencontre ! Pour goûter et jouir de ces plaisirs, il aura fallu qu’un horticulteur et un fleuriste rendent la chose possible : L’un en cultivant le sol et en semant la graine des fleurs que d’autres mains rendront encore plus belles et désirables !

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Publié le par Hervé André
Publié dans : #mes chroniques

Critiquer c’est aussi penser et comprendre

Est-on plus à même de porter un regard critique sur le monde associatif, syndical ou politique, quand des années durant on a milité au sein d’une organisation ? Comment prendre du recul avec un engagement sans avoir l’impression de trahir une grande famille qui a contribué à son éducation populaire et sa formation citoyenne ? Avant d’être confronté aux réalités du travail en entreprise, la politique et le syndicalisme n’étaient pas mes préoccupations premières. Mes connaissances sur le sujet se limitaient à ce qui était écrit dans les livres de l’école communale et aux commentaires de l’instituteur. J’ai gardé en mémoire une maxime que Monsieur Pasco nous répétait souvent : « lire un texte est une chose mais le comprendre, en une autre ! »  j’ai retenu la leçon et encore aujourd’hui je dis merci à cet instituteur de m’avoir donné l’envie de la lecture et de m’intéresser à l’histoire , d’essayer de comprendre le monde d’hier et celui dans lequel nous vivons aujourd’hui.

S’engager, refuser les injustices, le partage des idées, faire société

Par principe, le régime parlementaire et les lois gravées dans le marbre, ne devraient souffrir d’aucune contestation. C’est sans compter sur le fait que la sérénité du parlement ne s’apparente pas au parangon des vertus républicaines ! Certes la géographie de la chambre demeure fidèle ; la droite, le centre, la gauche, et les strapontins intercalaires . Le ‘bordel’ organisé des lieux fait que personne n’a plus de place en corrélation avec sa profession de foi ! Comme aurait dit le père Louis : Une chatte ne retrouverait plus ses petits dans ces lieux ; pourtant ???  L’engagement militant ; fut-il au service de la nation résulte, d’un choix émanant de la pensée et la capacité des individus à donner un sens à leur participation aux règles de vie en société. Nous venons au monde sans ambitions ni certitudes, aussi à défaut de s’en remettre aux augures, le devenir qui nous attend dès notre naissance est juste le début d’une aventure humaine ! La déclaration des droits de l’homme de 1789,  déclare  que les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits ! S’agissant des droits à la liberté, et à la propriété, l’histoire nous a révélé que l’égalité entre les membres d’une nation dès la naissance, était une vision chimérique autant que peut l’être la découverte d’un eldorado ! Pour autant, malgré les limites du cadre des droits de l’homme, l’esprit du siècle des lumières a été la base de l’expansion des grandes utopies sociales et des luttes pour le développement d’idées nouvelles, voire révolutionnaires !

 Convergences et unité d’action ! 

On milite pour une cause qui peut être bonne pour les uns et mauvaise pour les autres ! C’est selon des convictions qui prennent corps en fonction de l’héritage culturel, philosophique, ou religieux légué par votre famille . Bien souvent cet héritage immatériel n’est que le fruit d’un hasard de circonstance ! Qu’on le veuille ou non , à l’heure où les fées se penchent sur un berceau, les gens d’importance ou les sans dents , éprouvent les mêmes sentiments ; c’est d’abord la sensation d’un bonheur de recevoir un petit être, qui sera le prolongement de vous-même et l’éternel renouveau de la vie ! À part les clichés d’une vie de la famille heureuse où plus ou moins chaotique qui alimentent les émotions et les jugements de Monsieur tout le monde, les grands penseurs d’aujourd’hui affichent une propension à couper le lien existant entre l’instruction et l’éducation. Les dissocier est une remise en cause des bases de l’accès au savoir pour tout le monde et au principe fondamental du vivre ensemble : à savoir, la fraternité et la solidarité !  Face à cette incurie intellectuelle quelles notes devons-nous accorder à la politique et à ses représentants qui ne cessent de piétiner la démocratie et le statut de souveraineté du peuple.Maintenant, crier haro sur le baudet relève d’une réaction épidermique qui vous aide à mieux respirer mais ne résout en rien les causes et les effets du mécontentement et de la colère populaire ! Le schéma classique de la revendication, de l’organisation des luttes et des solidarités, ne fait plus recette. Les organisations syndicales, la droite , la gauche et autres mouvements de protestataires peinent à se rassembler sur des convergences d’idées et dans l’unité d’action !

L’engagement citoyen, La sinuosité des parcours de vie,  la vision de l’horizon bouchés prévalent sur l’appartenance à une famille syndicale ou du prolétariat de base !

Les aléas environnementaux, la santé, l’insécurité et autres accidents de la vie sont autant de sujets pour lesquels on s’engage de plus en plus au sein d’une association pour faire bouger les choses ! . Dans quelques associations, les appartenances politiques sont parfois admises sous la condition de respecter les statuts qui interdisent de faire ou parler politique lors des réunions. Pour synthétiser le propos ; ‘à chacun son métier, les vaches seront bien gardées’ ! Par principe, la démocratie demeure l’idée-force des associations . S’il fallait quantifier et qualifier leur travail , il n’y aurait plus de polémique sur les subventions qu’elles perçoivent ! Elles se différencient en fonction de leur ‘raison sociale’ : le champ d’activité est immense !  Leurs zones d’intervention couvrent les territoires périurbains, les régions, les départements…etc. ! Leurs interlocuteurs privilégiés sont pour la plupart des élus locaux. Elles contribuent, à des degrés divers, à la promotion de l’éducation populaire, à la vulgarisation des modèles de cultures, tant au niveau du monde artistique qu’aux cercles de recherche et d’expansion de la pensée. Les forces d’oppositions politiques constituées se nourrissent également des actions qui naissent sporadiquement pour des raisons objectives de l’actualité sociale. Des « mouvements sociaux » remettent en cause les pouvoirs dominants et la légitimité des syndicats représentatifs ;   souvent de manière désordonnée sur le terrain des luttes ! Ils ont parfois des objectifs contradictoires et « déboussolent » les partis politiques traditionnels qui font que l’entente cordiale ne dure que le temps de la médiatisation de la photo aux actualités du soir ! Que d’énergie dépensée pour du vent ! Que d’illusions perdues dans des combats de coqs déplumés

Faut-il vivre avec le « regret d’un travail inachevé »  Faut-il pointer du doigt d’éventuelles culpabilités « du monde de la gauche »  « des syndicats, des mouvements sociaux » se remettre en cause et puis, quoi faire ?

À ce jour, je ne suis certainement pas le seul à me poser la question de l’utilité de mon engagement pour l’intérêt général. À l’heure où il n’est plus question pour moi d’aller battre le pavé afin de partager des convictions qui ; me semble-t-il, sont minoritaires dans l’inconscient collectif , je ne pas me résoudre à admettre que l’injustice faite au peuple d’en bas    soit une fatalité ! La pauvreté et la misère morale sont les conséquences des choix de société et des politiques mises en œuvre à l’échelle de la planète, hier par le système capitalisme et aujourd’hui, le libéralisme débarrassé du complexe de l’exploitation de l’homme par l’homme ! 

Et si nous venait l’idée de penser autrement l’humanité ? Relever les grands défis qui s’imposent à tous les peuples qui ne veulent pas sombrer dans le néant que porte en eux le réchauffement climatique, la fonte des banquises, la montée des eaux et autres catastrophes que nous prédisent les scientifiques 

Les composantes du monde du travail sont devenues des collaborateurs et les syndicalistes  « des partenaires sociaux » ! La classe prolétarienne ne fait plus la une des journaux ; sémantiquement parlant, c’est là un raccourci de presse qui pourrait laisser entendre que les ouvriers et les ouvrières sont libérés-es des chaînes qui les liaient à l’usine de production ! Celles et ceux qui pointent tous les matins, ressentent toujours  dans leur chair le poids de leurs chaines !

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Publié le par Hervé André
Publié dans : #mes chroniques

Valeur : nom féminin, mot-clé et élément de langage usité par les experts de la politique politicienne ! Vaste sujet de réflexion, qui dans sa forme restrictive, semble convenir aujourd’hui aux mass media adeptes de la pensée unique et du libéralisme débridé ! Pourtant en regardant de plus près, il suffit de s’en remettre à la pertinence proverbiale qui nous dit : que la vache ne connaît la valeur de sa queue que lorsqu’elle la perd ! Qu’un homme sans ennemis est un homme sans valeur ! Que la cage sans oiseau, n’a pas de valeur ! Nous avons la chance que notre belle langue de Molière comporte de nombreuses définitions et supporte que les contradictions de la vérité puissent avoir du sens ! Mais ça, c’est une autre histoire, on ne l’aborde pas au Palais Bourbon.

 Il fut un temps où ; selon les places occupées sur les bancs de cette honorable Assemblée, les revues satyriques de la presse écrite et des chansonniers raillaient le Landernau politique quand les débats tournaient à l’affrontement sur l’air de la calomnie ! Les grosses tempêtes du palais Bourbon, étaient de la matière première à exploiter pour pas cher ! Malgré tout,  le protocole républicain garantissait la démocratie, le pluralisme et les valeurs intrinsèques aux partis politiques.

Aujourd’hui, chaque jour que Dieu ou le diable fait, la liberté de la presse est soumise au régime phagocytaire des tenants du libéralisme pour qui la valeur c’est : l’argent comptant et la liberté de penser , ‘parle toujours tu nous intéresses’ ! Bien des gens se demandent comment notre société en est arrivée à atomiser le  modèle social conquis par l’émergence des idées de progrès, de partage et de paix,  de l’action révolutionnaire et de la prise de conscience politique de la classe ouvrière. Que reste-t-il de tout cela ? Alors que, de plus en plus d’hommes, de femmes et d’enfants vivent dans le dénuement total, contraints à l’exil ou écrasés sous les bombes dans certains pays, quand le bruit des bottes résonne et qu’un peu partout renaît la bête immonde ; quelle valeur attribuer au triptyque républicain ‘Liberté, égalité, fraternité’ qui orne les frontons de nos édifices publics ! Que penser de ces très nombreuses commémorations célébrées par devoir de mémoire en l’honneur des victimes de la barbarie humaine ?

Certes une vision binaire et un jugement péremptoire sur la question ne sauraient apporter des réponses objectives aux interrogations générales sur nos sociétés d’aujourd’hui. Pas plus que de s’imaginer qu’il suffirait de reconstruire ce que nous avons perdu sur les mêmes fondations d’alors. L’idée première qu’il faut reconsidérer est bien la nature de la lutte de classe avant, pendant et après la période des trois glorieuses. À défaut d’avoir été l’élément moteur des luttes contre le capitalisme, le rôle politique de la classe ouvrière est un fait historique indéniable, tant sur le plan de l’unité d’action du monde syndical et des mouvements pour la paix dans le monde et d’éducation populaire !

Ces avancées sociales acquises de hautes luttes,  ont donné une dignité au monde du travail ! Elles ont été bradées , vendues à l’encan pour les menus et grands plaisirs des profiteurs et faiseurs de miracles !  Pour synthétiser mon propos , la classe ouvrière a perdu sa lutte contre le capitalisme ; qui fidèle à sa doctrine de domination sur le monde du travail, de la recherche et de la finance, a su contenir les mouvements de contestations et de révoltes ! Pour autant, la lutte de classe demeure sous-jacente et reste d’actualité  ; ce qui a changé, c’est le capitalisme qui est à l’offensive sur tous les fronts alors que la classe ouvrière a perdu sa boussole révolutionnaire ! L’opinion publique est à l’écoute des faux débats sociétaux relayés par le monde médiatique et demeure de plus en plus sensible aux appels de la bête immonde. De nouvelles données informatives occupent les unes des journaux et les écrans et distribuent des droits de figuration dans l’arc républicain ! C’est à croire que nos élites de la nation ont été robotisées par l’empereur de l’Absurdie quand ils relayent à l’envi qu’un groupe politique récoltant plus de vingt-deux pour cent des suffrages de la nation compte pour du beurre ! Pour le coup, la notion des valeurs en prend un bon coup !

       Quiconque peut penser que le droit à la paresse devrait être reconnu dans la constitution ! Idée farfelue s’il en est, mais imaginons un instant que cette idée fédère ‘démocratiquement’ une très large majorité pour sa cause , sa mise en discussion serait-elle contraire au principe de souveraineté du peuple républicain !! L’incertitude amène le voyageur à prendre un chemin qui mène nulle part ; en tout cas pas là où il veut aller, devrait nous alerter ! Sans préjuger de quoi demain sera fait , il faut être inquiet sur le devenir d’une société dans laquelle grandiront nos enfants. S’adapteront-ils au consumérisme ambiant selon les orientations de l’intelligence artificielle qui prédominera sur les choix démocratiques de société ? Rentreront-ils en résistance contre la robotisation de la pensée humaine ? Je m’inquiète sans doute à tort ; encore que… À l’instar de l’appropriation des moyens de production par la bourgeoisie dès les premiers cycles de la grande révolution industrielle, avec l’utilisation de l’intelligence artificielle dans tous les secteurs d’activité, le capitalisme a encore et encore de beaux jours devant lui !

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