Si on craint d’être des incompris, il faut toujours préciser la nature et le caractère de la chose exprimée. Libre à nous d’interpréter les mots, une image, des couleurs , mais jamais vous n’échapperez à la libre interprétation qui peut en être faite par celles et ceux que vous voulez intéresser ; ne serait-ce que pour faire société ou vous distinguer par rapport aux autres ! Il faut bien reconnaître qu’il n’y a là, rien de répréhensible ; à moins d’avoir affaire à des esprits tordus, c’est vrai que pour différencier le vrai du faux, c’est aussi compliqué que vouloir faire du ski au milieu du Sahara ! Pour autant avec résolution et encore un peu plus de courage, il faudra bien clouer le bec aux perroquets de la pensée unique qui passent en vedette sur les écrans de la boîte à blaireaux ! En faisant attention de ne pas les fournir en munitions. Éviter de prêter le flanc à la critique, c’est pour exemple, faire la différence entre un nœud et un camembert, bien que pouvant être coulant tous les deux…Fondamentalement, ils n’ont rien en commun ! Le plus béotien des illettrés ne tombera pas dans le piège.
Sur les bancs de l’assemblée nationale, il semblerait que langue parlée ne soit plus celle de Molière ; particulièrement chez les grosses têtes de la politique ! Aussi s’ils se trouvent encore des gens à croire que pour faire bouger les lignes, il suffit de modifier les professions de foi et d’opter pour des postures interchangeables, il nous faut sans cesse dénoncer la supercherie et réaffirmer notre vision politique.
Aujourd’hui, notre gouvernement, le parlement et l’ensemble les partis politiques s’accordent à dire que nous n’avons pas d’autres choix que d’avancer malgré les divergences d’idées et des choix antérieurs ! C’est du Coluche dans le texte quand il disait : tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ! Pour ma part je dirai que nous sommes dans la mouscaille et peu importe d’avancer ou de reculer, nous sommes entourés de merde ! Le temps de remettre en état le réseau de circulation ; pour un long terme . Il nous faut assainir le terrain pas à pas, dans l’unité d’action et l’élaboration collective du chemin à prendre résolument.
Nous avons un programme à disposition, il reste perfectible mais ça ne peut être le compromis en échange d’un fauteuil sous les lambris de la République !