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 c'est à dire

c'est à dire

un autre regard....une expression libre , le débat citoyen, l'éducation populaire et permanente

Publié le par Hervé André
Publié dans : #à méditer

Nonobstant que la liberté de la presse, englobe aussi le droit à la caricature, beaucoup de journalistes ou autres commentateurs patentés ou de circonstance sur les réseaux sociaux, en font des tonnes à propos d’une caricature de la binette de Cyril Hanouna. En adressant une volée de bois vert à la France Insoumise en général et à Jean Luc Mélenchon en particulier, la cour des miracles est en effervescence. Personnellement cela me fait sourire et m’amène à qualifier la chose comme on dit chez nous : d’un juste retour de bien de belle-mère outragée par sa bru ! Pendant ce temps-là notre Président , juché sur un affût de canon, observe les départs de feu sur la planète sous les bravos de tous les va-t’en- guerre et les rires étouffés du monde de la finance !

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Publié le par Hervé André
Publié dans : #à méditer

 Quand c’est la folie qui guide le poète dans ses pensées et le pinceau du peintre devant son chevalet, ça peut nous offrir des chefs-d’œuvre comme les fleurs du mal ou Guernica ! Quand tout vacille autour de toi, le temps présent prend une autre importance et le temps passé ne change plus rien à l’affaire ! Quant à la ronde des aiguilles de la grande horloge, une seule certitude : Hier a été le jour d’avant qui nous a conduit à celui d’aujourd’hui qui lui, nous mènera à demain ! Moralité : il n’est pas sot de dire que ce qui est pris est pris ! On peut également penser qu’à l’aube de chaque jour, une nouvelle aventure commence et qu’elle nous enchantera jusqu’aux aurores qui ouvrent les portes de la nuit ! Derrière ces portes il y a les fantômes du passé, des ombres à oublier ou à sceller dans le fer des dalles en béton d’un improbable tombeau qui nous donne nulle envie de terminer le voyage !

 

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Publié le par Hervé André
Publié dans : #billet d'humeur

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Publié le par Hervé André
Publié dans : #billet d'humeur

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Publié le par Hervé André
Publié dans : #à méditer

Pauvre Colombine, victime d’un signe venant de nulle part, qui lui fait croire que là ; debout devant elle, c’est son Pierrot dans son costume d’Arlequin qui lui tend les mains ! Il paraît moins beau, moins fringant qu’à l’ordinaire ; son sourire est moins rieur, ses yeux outrageusement maquillés par des larmes ne sont plus couleur noisette. De sa bouche close il ne sort aucun son. Hier encore tous deux jouaient dans le foin à chercher la fleur blanche que l’on effeuille en trichant souvent pour ne pas déplaire à l’autre

         Pauvre colombine, comment pouvait-elle imaginer que le jeu de la séduction est parfois bien cruel ! Elle et son Pierrot étaient faits tous les deux pour vivre dans la beauté des choses, hélas des mauvais esprits les faisaient vivre pour la beauté des choses ! Outrage fait à l’innocence et la naïveté des amants ? Ou abus de pouvoir de la volonté divine qui trace le chemin qui conduit à leur perte !

          Il est très rare que le rêve change notre destin s’il demeure ancré dans cette petite boîte qui sert d’abri à notre cerveau ! Le rêve a besoin de grandir, d’occuper l’espace, il en a les moyens car il peut donner des ailes aux poissons, transformer une grenouille verte en monstre des profondeurs ! De faire émerger du tumulte des tempêtes les fantômes des naufragés égarés par des formes à moitié femmes, à moitié hommes . Ainsi va la vie, celle qui nous conduit au néant quand on s’obstine sur le sentier de la déshérence à la recherche de trésors éphémères ou d’âmes mortes abandonnées sur le bord du fossé parce qu’elles ne servent plus à rien !

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Publié le par Hervé André
Publié dans : #pensées matinales

Ce matin en regardant tout autour de moi, je me suis rendu compte que rien n’avait changé pendant la nuit.  Aucun char russe dans ma rue, aucun drone n’est venu troubler mon sommeil, et un peu plus tard, sur le parking de mon magasin favori,  pas le moindre cosaque en vue ! Je me suis dit…qu’ heureusement notre Jupitérien président a pris les choses en main la veille en convoquant un état- major d’une armée qui n’existe que dans le rêve d’en découdre ; ne serait-ce que pour justifier le port des médailles en chocolat que ces retraités du crime autorisé arborent fièrement du cou a la ceinture ! Tout ça pour faire savoir au coq Poutinien que ‘nul faisait peur à l’autre ‘ . Toute cette mascarade pour taire et faire oublier que pas très loin de cette Europe, des criminels de guerre autorisent leur armée à jouer aux billes avec la tête des enfants de Gaza et d’ailleurs !

Quelle connerie la guerre….toutes les guerres !

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Publié le par Hervé André
Publié dans : #mes chroniques

Quelques échos d’une journée à la gloire de la femme subsistent sur le fil des informations. Il est vrai que plusieurs jours, voire des mois, ne suffiraient pas à épuiser le sujet ! Encore quelques jours de débats pour pas retenir grand-chose , il ne restera plus que la parole de celles qui pensent qu’en castrant la gent masculine, bien des problèmes seraient résolus ! Permettez-moi de ne pas souscrire à une telle éventualité ! Et puis il y a des chiens, qui même castrés, conservent leur mordant !

         En cette journée internationale des droits de la femme , la première chose qui m’est venue à l’esprit, est la valeur à donner aux critères qui déterminent le droit des femmes ? Serait-ce un principe d’égalité inaliénable ou la forme de reconnaissance du rôle qu’elles ont joué plusieurs siècles sur le plan sociétal ? Aujourd’hui il est de bon ton d’aborder le sujet en affichant à la une des médias, le comportement sexiste de la population masculine et d’en parler en le qualifiant d’injustice faite aux femmes ! Si le harcèlement de la personne est un délit, la réponse relève de la justice qui se doit d’appliquer les peines encourues par tout acte délictueux . De mémoire, selon les lois de la république, il en va ainsi pour tous les délits, qu’ils soient mineurs ou majeurs, sexistes ou racistes ! En théorie… C’est parfait, mais peu de gens ne peuvent situer ce pays sur une carte ! Pour autant un phénomène d’incivilité ne doit pas être l’arbre qui cache la forêt, pas plus que le retour à la bonne moralité qui faisait de nous des êtres respectables ou de la graine de voyou. Oui justice doit être rendue aux femmes ! Non pas par les déclarations péremptoires et la prolifération des faits divers, ni la multiplication des manifestations des mouvements féministes ; qui selon la médiatisation des sujets posent des vraies questions sans pour autant trop déranger l’ordre établit. Sur le plan syndical et politique, le combat des femmes se confond avec celui des hommes ; il en va de même au niveau associatif . Avec le système de parité imposé, la parole des femmes « est portée, dans tous les organismes de direction.  Est-elle entendue ?  Je ne sais pas ? » Même s’il faut reconnaître que cette mesure qui se voulait égalitaire, a autant désorganisé que renforcé l’empreinte des organisations concernées. L’idée-force qui en découlait : « à travail égal salaire égal » n’a pas trouvé de réponse positive et demeure d’actualité ! Le pire serait que cette revendication soit banalisée et emportée par le tourbillon incontrôlable des réseaux sociaux où, les maîtres à penser ne sont plus ce qu’ils étaient  depuis que la liberté de penser passe d’abord sous les fourches caudines du libéralisme avant d’avoir le droit de cité !

         L’évolution des mœurs dans la société est un fait accompli, qui sans cesse remettra en cause ‘la bonne moralité’ d’un autre temps. Plus que jamais la raison du bon sens doit l’emporter sur l’ignorance pour créer des liens solides et nouveaux entre individus, au-delà de leur mode de vie, de leur sexualité et de leur croyance. Faut-il être nostalgique d’un temps où l’on pouvait trouver belles les femmes sans craindre de se faire traiter d’obsédé sexuel et d’être livré à la vindicte populaire ? Pour ma part craignant le risque de passer pour un vieux con prétentieux, compte tenu de mon âge avancé, je préfère m’incliner devant la beauté d’une rose se baignant dans la rosée du matin ! Mais j’aime me souvenir de ce temps ou le sourire d’une âme sœur suffisait à mon bonheur lors de mon voyage quotidien vers l’usine…Et puis , je ne peux m’empêcher de penser à une belle et  grande dame qui a sacrifié sa vie de femme libre pour une vie de mère ! Par pudeur il m’est difficile d’en parler, de crier devant les injustices qu’elle a enduré durant sa vie. J’aime quand même croire qu’elle a, quelques fois dans sa vie de galères connu ces moments où la couleur du ciel importe moins que les secondes de bonheur volé !

         Aussi , tous les matins que m’offre la vie, elle demeure en moi comme une femme que le patriarcat a abusé en la soumettant aux lois de domination écrites pour des hommes par les gens de robe que sont les juges et les curés ! C’est là un mur qu’il faut abattre, une tâche ou un combat, peu importe…pour aujourd’hui et les générations  d’hommes et de femmes à venir !!  

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Publié le par Hervé André
Publié dans : #société

Cette année le salon de l’agriculture se déroule dans un calme relatif ; oubliées les tensions d’hier ? Que du bonheur ! pouvoir caresser le cul des vaches, ébouriffer le manteau de laine des brebis ; c’est le retour aux images d’Épinal dans la capitale.  Nos jardiniers des plaines,  des vallons et des montagnes de notre beau Pays, vont faire la une des médias ! Nos écoliers-ères vont pouvoir disserter sur la chaleur animale et la diversité du troupeau en exposition ; je parle des animaux ! Il sera aussi question du bien-être animal avant l’assiette au restaurant….Et pourquoi pas remettre au goût du jour une maxime que nous devons au bon roi Henri, quatrième du nom, qui sans aucun doute, ferait  plaisir à un autre béarnais aujourd’hui empêtré dans des histoires d’enculages ou de pédophilie dans des lieux sacrés pour les uns ou saints pour les autres ! agnus dei ou anus des anges c’est selon la messe et les sacristains !

                Mais revenons à nos moutons ou plutôt aux clichés qui accompagnent les reportages sur le monde agricole : La paysannerie c’est quoi au juste ?  Est-ce un ensemble d’hommes, de femmes, vivant du travail de la terre à la campagne ? C’est là une palette de personnes avec des statuts différents. On retrouve des personnes qui peuvent être agriculteurs, cultivateurs, fermiers, métayers, sans être propriétaires terriens . Des ouvriers qui exercent une profession en lien avec l’agriculture et ont des intérêts communs partagés : à savoir, une bonne santé économique garante de la pérennité des activités du secteur agricole. Les exploitations ont un cahier des charges en conformité avec un modèle de production. On peut dire qu’il y a trois modèles qui se distinguent :

         a) la culture intensive qui demeure globalement la moins onéreuse sur le plan des emplois tout en produisant un plus grand volume pour le marché. S’ils tiennent le haut de l’échelle de  la profession, sur le plan qualitatif, la production est controversée par les mouvements de consommateurs et les exigences écologiques d’aujourd’hui.

         b) des exploitants qui ont pris en considération la dangerosité des traitements chimiques et leur utilisation abusive et ont opté pour des traitements 'raisonnés'. Une démarche à saluer pour deux choses ; moins de pesticides dans l’alimentation et une prise en compte des risques sanitaires liés à l'application des traitements. La population riveraine des lieux d'exploitation et les personnels du secteur agricole sont impactés-es par les traitements de la terre et des cultures. 

         c) la culture biologique ? le meilleur modèle pour demain ? Rien n’est moins sûr ! Il suffit de constater que le cahier des charges du label qui était le plus contraignant compte tenu des enjeux de santé publique, est devenu une variable d’ajustement, interprétée au gré du marché et de la concurrence ! Le monde agricole est divisé sur la question, le  problème majeur à solutionner serait une mise à niveau des coûts de production sur le plan européen ! Qui l’eut cru ? Peut être ceux qui ont misé sur le marché libre et non faussé ; n’importe quel dernier de la classe en rit encore de cette connerie !

         (L’agriculture biologique est une méthode de production agricole qui vise à respecter les systèmes et cycles naturels, maintenir et améliorer l’état du sol, de l’eau et de l’air, la santé des végétaux et des animaux, ainsi que l’équilibre entre ceux-ci.) Le premier obstacle au développement de l’agriculture biologique a été d’ordre économique . Le coût de la viande, des fruits et légumes trop élevé pour les foyers aux revenus modestes et la prise de conscience de la dangerosité de certains traitements phytosanitaires pour l’humain et l’environnement n’était pas si évidente dans les esprits, tant chez les consommateurs que chez les producteurs. Malgré tout l’idée a fait son chemin avec la multiplication des (AMAP) associations pour le maintien de l’agriculture paysanne. Un partenariat entre des groupes de consommateurs et une ferme, basé sur un système de distribution de paniers composés des produits de la ferme,  qui avait pour originalité, la garantie d’un revenu stabilisé pour les paysans. Ce système perdure grâce à l’engagement militant des parties concernées mais il ses limites. D’autant plus que les magasins de grande distribution ont ouvert des rayons dédiés aux produits bio. La propension de consommer bio va grandissante, aussi il n’y a rien d’étonnant que l’envie de capter une part du marché soit fortuite, ne serait-ce que pour illuminer la vitrine !

         Il coulera encore beaucoup d’eau sous les ponts avant que les décideurs de notre planète changent de paradigme et fassent que l’écologie devienne une priorité absolue pour toutes les nations, un droit opposable inscrit dans les projets politiques des gouvernements. Face aux bouleversements climatiques et les calamités qui en découlent, il faudra moins de parlottes politiciennes et poser des actes, et  pas uniquement pour sauver prioritairement  un système financier mais pour rendre possible la cohabitation du monde des vivants dans le respect et la protection de la nature… notre bien commun à tous !

         Je suis conscient que je suis en train de faire un rêve, ce que je dis là ne sont que des paroles d’un espoir bien fragile, qui peuvent s’envoler au moindre souffle de vent ! Pour autant elles sont un cri que rien ne pourra étouffer ! Je vais bientôt partir ; mes enfants, mes petits-enfants, leurs petits et ceux des autres qui viendront l’entendront encore et toujours ! Je sais que biens des femmes, des hommes, mènent ce combat mais ils ou elles sont jugé-es sur le trop peu des victoires obtenues. Ayant décidé , un peu par la force des choses, de rester à l’écart des débats citoyens, je crois toujours que la transition écologique, telle qu’elle figurait dans le programme du FDG : ‘l’Avenir en commun’ porté par Jean Luc Mélenchon, est plus que jamais d’actualité. Le combat pour une écologie durable et la mise en œuvre des mesures incontournables à prendre, s’inscrit sur le long terme, je dirai même qu’il doit être considéré comme un combat permanent, de génération en génération !

         Le monde agricole qui affiche une sérénité en demi-teinte depuis l’ouverture du salon , est-il conscient que le recul sur des mesures écologiques par nos dirigeants, était le prix à payer pour voir Jupiter parader sur un nuage ! Si j’avais soixante années en moins , je gueulerai haut et fort : Ouvriers et Paysans même combat !

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Publié le par Hervé André
Publié dans : #billet d'humeur

Si on craint d’être des incompris, il faut toujours préciser la nature et le caractère de la chose exprimée. Libre à nous d’interpréter les mots, une image, des couleurs , mais jamais vous n’échapperez à la libre interprétation qui peut en être faite par celles et ceux que vous voulez intéresser ; ne serait-ce que pour faire société ou vous distinguer par rapport aux autres ! Il faut bien reconnaître qu’il n’y a là, rien de répréhensible ; à moins d’avoir affaire à des esprits tordus, c’est vrai que pour différencier le vrai du faux, c’est aussi compliqué que  vouloir faire du ski au milieu du Sahara ! Pour autant avec résolution et encore un peu plus de courage, il faudra bien clouer le bec aux perroquets de la pensée unique qui passent en vedette sur les écrans de la boîte à blaireaux ! En faisant attention de ne pas les fournir en munitions. Éviter de prêter le flanc à la critique, c’est pour exemple, faire la différence entre un nœud et un camembert, bien que pouvant être coulant tous les deux…Fondamentalement,  ils n’ont rien en commun ! Le plus béotien des illettrés ne tombera pas dans le piège.

Sur les bancs de l’assemblée nationale, il semblerait que langue parlée ne soit plus celle de Molière ; particulièrement chez les grosses têtes de la politique ! Aussi s’ils se trouvent encore des gens à croire que pour faire bouger les lignes, il suffit de modifier les professions de foi et d’opter pour des postures interchangeables, il nous faut sans cesse dénoncer la supercherie et réaffirmer notre vision politique.

         Aujourd’hui, notre gouvernement, le parlement et l’ensemble les partis politiques s’accordent à dire que nous n’avons pas d’autres choix que d’avancer malgré les divergences d’idées et des choix antérieurs ! C’est du Coluche dans le texte quand il disait : tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ! Pour ma part je dirai que nous sommes dans la mouscaille et peu importe d’avancer ou de reculer, nous sommes entourés de merde ! Le temps de remettre en état le réseau de circulation ; pour un long terme . Il nous faut assainir le terrain pas à pas, dans l’unité d’action et l’élaboration collective du chemin à prendre résolument.

Nous avons un programme à disposition, il reste perfectible mais ça ne peut être le compromis en échange d’un fauteuil sous les lambris de la République !

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Publié le par Hervé André
Publié dans : #à méditer

Bénis sont les saigneurs… Ou le seigneur ? C’est selon !!

À l’instar des humains qui ont de la religion, les animaux sont-ils, eux aussi, bénis des dieux ? Ont-ils un paradis à eux quelque part dans l’univers ? Parce que j’aime bien les bêtes ; surtout les cochons et les chevaux,  je me dis que c’est vraiment con pour eux de finir sur l’étal d’une boucherie et que cela serait justice qu’ils puissent continuer à se faire du lard dans l’au-delà , surtout les cochons! Quant aux chevaux, ils ont accompagné les hommes à la guerre, écorchés les flancs à tirer les canons et les chars à bancs avant de finir en charpie pour le bonheur des rapaces qui rôdent sur tous les champs de bataille ! Et puis les autres,  aussi appelés bêtes de somme, qui leur vie durant ont tiré la charrue pour les labours et la charrette pour la rentrée les foins ou de la moisson…Tout ça pour finir un jour en saucisson sec !

Je sais, je m’égare dans le sentimentalisme ! Faut que tout monde bouffe et pour ça il faut bien sacrifier un peu d’amour au profit des besoins et des envies ! Allez, haut les cœurs , ici-bas tout est permis pour bien vivre ; à condition de taire l’inavouable ! Et puis, le paradis ? Il existe peut-être que dans les livres ou dans la tête de celles et ceux qui pensent que rien n’est impossible !

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